Daniel de Roulet / © Thomas Andenmatten

Daniel de Roulet

hors les murs / Maison de la poésie

Conversation entre Daniel de Roulet et le traducteur et écrivain Martin Rueff, autour de Quand vos nuits se morcellent – Lettre à Ferdinand Hodler (éd. Zoé, avril 2018)

« Ferdinand Hodler, mort il y a cent ans, n’a été d’abord qu’un peintre helvétique et besogneux. Jusqu’au jour où il a rencontré Valentine Godé-Darel, son modèle, puis la mère de son enfant, puis de nouveau son modèle, mais alitée, parce que mourante. À travers plusieurs centaines de toiles et de dessins, Hodler a rendu compte chaque jour de l’avancement de la maladie sur le visage de sa bien-aimée. Un tour de force jamais égalé dans l’histoire de l’art. Guillaume Apollinaire a salué en lui « l’un des plus grands peintres de cette époque ». Avant Giacometti et Tinguely, Hodler est le symbole d’un art à la fois intime et planétaire. »
Daniel de Roulet

En partenariat avec la Maison de la poésie
Maison de la poésie, Passage Molière, 157 rue Saint-Martin, 75003 Paris
Tarif : 5 € / réservation : 01 44 54 53 00

Daniel de Roulet / © Thomas Andenmatten

Daniel de Roulet / © Thomas Andenmatten