Cristine Combe / Photo: Richard Baltauss

Cristine Combe

Identité-minute

Voyage en chansons, dans la ville, aujourd’hui.
Dans la nuit d’une grande ville, une femme rentre chez elle.
Sur le pas de sa porte, elle réalise qu’elle n’a plus ni clefs, ni papiers.
Elle s’en retourne en quête d ‘un commissariat et rencontre sur son chemin des “univers-signes”,
témoins sonores des lieux qu’elle traverse: jukebox, flippers, cloches cris, sirènes,…

Cristine Combe, dès son premier disque “Camerawoman”, fut saluée par Claude Nougaro, lequel écrivit sur la pochette de l’album: “Cristine Combe a choisi le chant comme méthode d’enchantement et le jazz comme faiseur d’extase”. Cet Orphée sauvera l’orpheline. Le souffle court de la peur deviendra celui, ample et profond, de la conquête de l’amour et la musique de Jean-Louis Méchali gonflera d’ardentes mélodies et de ryhtmes jeunes les voiles de cette voix.

Avec “Identité Minute” la prophétie de Nougaro s’accomplit, la reconnaissance de soi, cet éclair éblouissant de l’identifictaion subite d’un soi… qu’on n’attendait peut-être pas, suscite bien sûr quelques remous - le temps de quelques chansons - mais le souffle est ample et profond et l’amour est là!

Cristine Combe / Photo: Richard Baltauss

Cristine Combe / Photo: Richard Baltauss

— © Centre culturel suisse. On Tour
mar 17 – dim 22 nov 1987