Gabriel Schenker, pulse constellations / © Bart Grietens

Thomas Hauert / Gabriel Schenker

> Gabriel Schenker, pulse constellations
(solo, 2016, 26’)
Véritable kaléidoscope de 24 sections rythmiques, le solo de Gabriel Schenker, pulse constellations, fait écho à la composition écrite en 1978 par John McGuire, Pulse Music III. Le chorégraphe et danseur déconstruit et reconstruit la toile complexe des pulsations musicales, explore les limites entre le mathématique et l’organique, entre la précision numérique de la musique électronique et l’imprécision analogique d'une danse.

Gabriel Schenker danse entre autres pour Thomas Hauert et enseigne à ses côtés à la Manufacture, haute école des arts de la scène à Lausanne.

> Thomas Hauert, (sweet) (bitter)
(solo, 2015, 30’)
Dans (sweet) (bitter), Thomas Hauert danse sur les multiples interprétations du madrigal baroque Si dolce è’l tormento de Monteverdi, en interaction avec les 12 Madrigali de Sciarrino. Ce poème musical de l’amour contrarié apparaît comme un conflit entre le plaisir de disposer d’un idéal et le tourment de savoir qu’il ne sera jamais atteint.

En parallèle, Thomas Hauert présente Inaudible au Centre Pompidou les 17 et 18 mai et le 30 mai aux Rencontres chorégraphiques internationales de Seine Saint-Denis.

 

En partenariat avec Libération, Ballroom